Vous pouvez télécharger le rapport du Coloque en clickant ici.

Desarrollo y sostenibilidad son dos de los grandes retos del proceso de implementación de los acuerdos firmados en La Habana, entre el gobierno colombiano y las FARC. La incorporación de estos dos conceptos en la agenda de paz para la reconstrucción del tejido social y el refuerzo de las instituciones, permite integrar a la academia, la sociedad civil, el gobierno, la empresa privada y todo tipo de organizaciones, en el propósito nacional de construcción de un nuevo país.

Así como las organizaciones públicas serán las encargadas de gran parte de la implementación y juegan un rol fundamental en la construcción de paz, tanto el sector privado, como las organizaciones sociales serán clave en esta nueva etapa.

El sector privado, en particular juega un papel importante en la construcción de paz en Colombia. Por la inversión, pero también porque dispone de recursos materiales y humanos para apoyar los complejos procesos de transformación económica y social -locales y regionales- que enmarcan esta nueva etapa del posconflicto y la construcción de una paz durable en Colombia.
Estudios han demostrado que la participación del sector privado en épocas de post-conflicto más allá de los créditos económicos, produce beneficios en la sociedad. Y la posibilidad de articular estos esfuerzos con organizaciones sociales es también clave.

Esta mesa espera convocar trabajos de docentes y profesionales que aborden el estudio de tales que las iniciativas de la empresa privada, organizaciones públicas o privadas en el acompañamiento de iniciativas productivas locales en regiones fuertemente impactadas por la guerra; los acuerdos y trabajos de cooperación empresa privada-universidad y o sector público y organizaciones sociales en procesos de capacitación y empoderamiento por el desarrollo económico; así como distintas perspectivas del management en la construcción de paz.

Seront analysés dans cette session les processus d’internationalisation d’entreprises européennes et latino-américaines dans le cadre des relations bi-régionales et globales.

L’on s’attachera à illustrer, d’un point de vue théorique et/ou empirique, la notion d’internationalisation durable et inclusive. La présentation de travaux mettant en rapport internationalisation et développement est encouragée.

La session donnera lieu à des approches multidisciplinaires qui traitent des facteurs ayant une incidence sur la conception et la mise en œuvre des stratégies d’internationalisation et qui analysent leur articulation avec les attentes, en matière d’inclusion et d’équité, des gouvernements et de la société civile.

Seront également bienvenues des communications portant sur la question de l’interculturalité partant du principe que l’internationalisation, en impliquant plus d’un pays et, à plus forte raison, plus d’un continent, pose nécessairement la question de la gestion de la dimension culturelle dans ses multiples facettes.

Parmi un grand nombre d’outils de stratégie, l’analyse SWOT ou AFOM est fortement populaire et cela depuis les années 60’s, son essence étant de relier l’organisation avec son environnement sociétal. La gestion des entreprises, pour sa part, a montré des façons originales de concevoir la stratégie en l'abordant non seulement comme un processus, mais surtout comme une pratique. Cependant, la relation complexe entre une entreprise d'un continent composé de pays émergents avec des entreprises et des marchés d'un continent formé de pays développés et mûrs a été peu étudiée dans le champ de la stratégie. Les défis et les opportunités liés au changement climatique ainsi que la transition vers une économie à faible taux de carbone ajoutent un degré de complexité supplémentaire à cette relation, comme l'illustrent le commerce et les relations internationales, les processus d’internationalisation et les diverses formes d’investissement étranger.

Aujourd’hui, les pays émergents ont trouvé diverses façons de gérer, voire de bénéficier de cette interaction appuyée sur des traités et des accords de libre-échange sans approfondir pour autant les énormes opportunités associées aux nouvelles versions du commerce circulaire, aux marchés justes, au business inclusif, au capitalisme conscient ou à l’exportation de produits organiques, entre autres.

Par conséquent, nous invitons chercheurs et praticiens de la stratégie à analyser, à comprendre et à interpréter les pratiques, les processus et les relations entre les organisations qui s'internationalisent et qui construisent des ponts entre les deux continents. Nous cherchons à répondre à des questions telles que:

• ¿Comment l’intégration économique et le développement international des affaires ont contribué à la création de valeur et de richesse en Amérique?
• ¿Comment se sont développés les nouveaux modèles d’affaires et les partenariats inclusifs dans les entreprises d’Amérique et d’Europe?
• ¿Comment les partenariats publique-privés contribuent-ils à la croissance économique inclusive?
• ¿Comment le marché international influence-t-il le développement durable local?
• ¿Quel rôle jouent les affaires internationales dans la création d’une paix durable?

Nous acceptons aussi des travaux de recherche et de pratique en stratégie qui abordent la relation entre organisations d'Amérique et d'Europe.

Un délai supplémentaire a été accordé pour la présentation des études de cas jusqu’au 30 mars 2018. Les meilleurs cas seront invités à participer au processus d’évaluation du CBCC en vue de leur possible publication dans le Harvard Business Publishing.

Notez qu’à différence des autres sessions (tracks), ici nous n’attendons pas un résumé mais les documents terminés (voir les définitions plus bas). Par conséquent, nous avons accordé un délai supplémentaire à celui des sessions académiques, mais seulement pour cette session.

Nous rappelons que cette session de cas pédagogiques se présenterons des études de cas de diverses disciplines en administration (stratégie, marketing, finances, opérations, entrepreneuriat, etc.) et qui remplissent les suivantes caractéristiques:

• Les études de cas doivent traiter d‘une situation réelle qui supose un problème, un défie, une opportunité ou une décision à prendre par une personne dans un contexte lié avec l’administration d’une organisation.
• Il peut s’agir aussi d’un cas en relation avec un terrain dans le cadre d’une recherche.
• Seulement seront acceptés des travaux originaux qui n’ont pas été publiés auparavant dans des libres, des journaux, des revues ou dans des collections de cas, bien que seront acceptés des cas ayant été utilisés dans des cours.
• Une extension maximale de 15 pages de texte est requise, et non pas plus de 25 pages au total, avec les annexes.
• Les cas doivent être acompagnés d’un manuel de l’instructeur o d’une note pédagogique qui porte généralement d’un résumé du cas, du type de cours dans lesquels ce cas peut être utilisé, et le publique auquel il est conçu selon les objectifs d’apprentissage, les recommandations sur son utilisation dans le salon de classe et la stratégie de discussion avec les possibles questions et réponses qui servent à un apprentissage par cas. Finalement, quelques instructions sont attendues concernant le plan pour illustrer sur les tableaux et un épilogue dans le cas où ce soit nécessaire.

Une référence générale sur comment écrire une étude de cas et une note pédagogique peut être consultée dans: “Key Elements for Excellence in Classroom Cases and Teaching Notes”, James E. Austin; James L. Heskett; Christopher A. Bartlett, HBSP # N9-915-417, April 16, 2015. Disponible en https://cb.hbsp.harvard.edu/cbmp/product/915417-PDF-ENG

Si vous voulez aussi approfondir sur la structure d’une note pédagogique, vous pouvez regarder dans: Austin, J. E. (1993). “Teaching Notes: Communicating the Teacher’s Wisdom.” Boston, MA. HBSP # 5-793-105.